mardi 22 septembre 2020

Je l'avais écrit

 « UN CRI DANS LA DUNE »


Je l’ai écrit en 2002 ( 700 exemplaires vendus ) et en voici une version revisitée, éditée à nouveau dans sa forme intégrale en version PDF  - 36 pages ( 2.98.$ ), disponible sur votre portable, tablette ou « smartphone » comme disent les français. Vous y verrez un portrait plutôt annonciateur de ce que nous vivons aujourd’hui à travers le monde. Comme pourrait dire mon père : « Je vous l’avais bien dit. » Une version papier est aussi disponible, toujours en PDF ( format  81/2 x 11 ) artisanale et difficile de l’offrir en bas de ( 10.$ ) compte tenu des frais postaux. Pour toute commande, virtuelle ou papier, communiquez avec moi via mon adresse courriel ou messenger et le tout payable via interac après entente. Je vous remercie à l’avance de respecter mes droits d’auteur. Georges Gaudet 




jeudi 10 septembre 2020

Suis-je dans le bon camp ?

 NOUS SOMMES EN GUERRE

 

« L’humanité entière est en guerre » devrais-je écrire, mais ce qui est pire, elle combat un ennemi invisible. Je me souviens de ce soldat ayant survécu à la guerre du Vietnam qui, lors d’une entrevue disait ceci: « Nous avons perdu cette guerre devant un ennemi invisible. » En effet, l’ennemi pouvait se trouver partout, autant dans la jungle que dans un réseau de tunnel digne des catacombes ou en pleine ville de Saigon, au marché comme dans les bordels de la ville. Même l’enfant courant vers le soldat avec un panier rempli de fruits à lui offrir était souvent abattu par précaution, puisque souvent, pauvre martyr, une grenade avait été placée sous le tas de fruits.

 

Eh bien! C’est ce que nous vivons aujourd’hui de façon similaire, mais avec une légère nuance. Alors que dans les conflits passés, la plupart des belligérants croyaient en leur cause, il nous arrive aujourd’hui de douter de notre allégeance. Sommes-nous du côté des complôtistes, des idiots ou des gens supposément bien avertis, bien informés? Faisons-nous face à une conspiration mondiale menée par quelques grands manipulateurs universels qui rêvent de soumettre l’humanité à leur production de masse commune tout en se réservant un totalitarisme décisionnel sur toute vie humaine ? –À moins que ce ne soit qu’un autre combat contre un virus à saveur de pandémie risquant de nous détruire tous. Évidemment, chacun tire les conclusions selon le perçu à travers ses propres lorgnettes. Et devant ces incertitudes, il y a lieu de se demander si nos dirigeants politiques actuels sont de mèche avec le monstre ou simplement perdus, démunis, sans véritable perception globale devant cet ennemi invisible qu’on appelle « virus ». Sont-ils en train de nous mener volontairement vers un champ de mines, ou en toute bonne foi, sont-ils en train de nous fournir des fusils de bois contre un ennemi doté de canons antichars et de surcroit, invisible.

 

Que ce virus soit naturel ou créé de toutes pièces par le « génie » humain n’y change rien. Les effets sont les mêmes. Comme dans toute guerre, le malheur des uns fait le bonheur des autres. Il faut cependant se demander qui sont ces « autres ».  Des centaines de milliards de dollars et lingots d’or bien à l’abri dans des paradis fiscaux, l’augmentation facile de la valeur des parcs immobiliers appartenant à de grands Trusts internationaux, la progression fulgurante de la valeur de l’or sur les bourses planétaires, de grandes chaînes de biens essentiels tout comme de grandes pharmaceutiques qui ont vu leurs profits atteindre des sommets planétaires, des firmes pharmaceutiques prétendant combattre le cancer et qui achètent à coup de milliards, la plus grande compagnie productrice d’aliments génétiquement modifiés, soupçonnés d’être en partie responsables de cette terrible maladie. La disparition presque instantanée de la monnaie papier sous le prétexte de limiter la propagation d’un virus et dans les faits, une excellente diversion pour s’informer et analyser les habitudes et nécessités de consommation de chaque individu sur la planète au moyen de ces immenses et gargantuesques banques de données numériques. Voilà de quoi inquiéter n’importe lequel individu qui tente un tant soit peu de s’informer à diverses sources. Quant à savoir qui dit vrai, voilà le véritable dilemme et il ne manquerait plus que la vérité se situe entre les deux extrêmes. 

 

 

Et pendant ce temps, le petit marchand s’écrase, le cultivateur bio ou simplement à petite échelle se fait acheter sinon bouffer par ces immenses compagnies rêvant d’ouvriers peu rémunérés et surtout bien obéissants parce qu’ils n’ont pas le choix. Les compagnies fragiles et/ou trop fluctuantes s’écroulent, la voie numérique diminuant d’autant les nécessités de voyager tue littéralement le transport de masse, ouvrant comme unique possibilité l’avenue du transport corporatif et la liste s’allonge. Les prix de l’immobilier et des loyers montent à une vitesse subsonique, privant ainsi d’un véritable toit environ 99% de la population terrestre, quand ce n’est pas tout simplement la création de foyers de famine disséminés à travers les continents. La corruption règne partout et les budgets gouvernementaux explosent, des pays entiers sont en faillite, des marées humaines tentent d’émigrer vers des endroits plus viables et pour finir, la Terre, notre bonne vieille Terre s’essouffle, sue et se révolte. En gros, l’humanité entière ou presque…a peur.

 

LA PEUR

Un véritable virus invisible, sournois, incontrôlable, tueur sans merci existe indéniablement. Qu’il soit de nature artificielle créé par le « génie »humain ou qu’il soit issu de la nature n’y change rien. Personnellement, celui qui écrit ces lignes s’en fout puisqu’il donne les mêmes résultats. Qu’il y ait complot ou pas, il y a certainement OPPORTUNISME. Merveilleuse occasion pour analyser les mouvements de marées humaines en toutes circonstances et les taux de soumission, de croyances et de peur auprès des différents peuples de cette Terre. Merveilleuse occasion pour se débarrasser des improductifs, pauvres retraités (même ceux qui ont contribué pendant toute une vie à tenter de bâtir un monde meilleur). Merveilleuse occasion pour qu’au nom de la prudence et surtout de LA PEUR, on déshumanise l’âme humaine en éloignant l’être humain de l’amour par la distance, l’interdiction de tenir la main des mourants, alors que bien protégé, le personnel soignant et le type de la morgue, lui, peut approcher celui qui quitte ce monde ou qui l’a déjà quitté. Merveilleuses occasions pour séparer les véritables couples aux adresses différentes, ou condamner l’être humain à l’amour masqué, capoté, à l’enfermement en cage des vieux sous prétexte de les protéger afin qu’ils laissent la place pour les générations plus jeunes, promesse d’une plus grande facilité d’adaptation au nouveau monde. Merveilleuse occasion pour soumettre la masse humaine à une monnaie unique, une monnaie plastique dont la facilité de contrôle sera bientôt présentée comme la protection ultime contre toutes transactions frauduleuses tentant d’éviter le paiement des impôts des particuliers.

 

L’ennemi est invisible, même celui qu’on croit voir. Il est mal vu de citer de vieux textes qui nous avertissaient de ce qui nous arrive, mais ils existent. On traite d’imbéciles ceux qui questionnent et se questionnent, rendant par ce fait, douteux le verbatim de ceux qui se targuent de l’étiquette de spécialistes. Jéricho est tombée, Jérusalem est tombée, les tours de New-York sont tombées, le Titanic a coulé, des avions s’écrasent, des astronautes brûlent dans leur capsule, des  barrages s’écroulent…des vaccins sont parfois ou souvent inefficaces. Et tout ça fut construit et réalisé par des spécialistes.

 

Un ami m’a dit un jour : « Devant l’inconnu, devant l’incertitude ou l’improbable,  je m’abstiens » et ma grand-mère disait souvent que la vérité c’était comme la crème dans une tasse de thé. Elle finit toujours par monter à la surface. Alors, j’attends ! C’est pourquoi je suis les directives de nos dirigeants d’aujourd’hui. Je porte le masque en public, je respecte la distanciation suggérée ou imposée et je me lave les mains une dizaine de fois par jour en plus de laver ma vaisselle dans un évier, mais pour combien de temps ? Le temps de gagner une guerre légitime ? Ou le temps qu’il faudra pour soumettre l’humanité à un esclavage permanent ? Un vieux texte tout court me dit qu’il se passe quelque chose de bizarre en notre monde d’aujourd’hui et beaucoup d’entre vous ne le liront pas sinon qu’en cachette. Il s’agit de l’Apocalypse de Jean, chapitre 13, verset 17 et 18. Pas besoin d’être croyant, chrétien ou témoin de Jehova pour ça. Je n’en sais rien et je dors,…mais d’un œil seulement ! 

 

Georges Gaudet