Depuis que le gouvernement fédéral a décidé d’abandonner aux communautés locales ou à des intérêts privés les phares qui ont servi de sentinelles des mers depuis quelques siècles, des enfants de ces phares témoignent.
L’histoire tend à illustrer Alexandre LeGrand comme le père des phares de la navigation maritime. Les croquis du phare d’Alexandrie le long des côtes méditerranéennes, marquent cette histoire comme autant de souvenirs qui refusent de mourir.
Le phare de l’Anse-à-la-Cabane.
Dans la dernière édition du journal LE RADAR, Jeannine Boudreau, un enfant de ces phares, a publié une lettre ouverte qui dit tout. Le phare de l’Anse-à-la- cabane fut le berceau de son enfance, la naissance de ses racines, son album souvenirs. Afin de respecter l’intégralité de son texte, le voici en version photo.
Bonne réflexions à toutes et à tous pendant la semaine qui s’en vient.
GG
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